15 janv. 2017

Lecture: U4 .Contagion



Y. Grevet, F. Hinckel, C. Trébor, V. Villeminot & autres
Syros Nathan
449 pages
16,95 €
Apocalypse, Survie, Adolescence, Nouvelles


"Je m'appelle Séverine, le monde est ravagé et je crois que je suis enceinte.
Je m'appelle Philippe,moi président de la république française, je n'ai pas pu sauver ma propre famille.
Je m'appelle Nicolas, je suis bloqué en Espagne avec mes potes: tout le pays est mort sauf nous, touristes français.
Je m'appelle François, c'est de la folie mais par amour, je suis prêt à redevenir un hors la loi. Je m'appelle Koridwen, j'ai l'impression d'avoir déjà vécu ça..."


A Noël 2015, j'avais eu d'un seul coup d'un seul les quatre tomes de la série U4, que je m'étais empressée de dévorer. Or cette automne, un dernier tome est sorti... Alors forcément, je l'ai mis sur ma liste, et je l'ai eu à noël dernier.
Ce dernier tome est donc composé de diverses nouvelles qui étudient le point de vue des personnages secondaires tels que Happy, le chien de Yannis, ou Alicia, la petite fille recueuillie. Il y a aussi une BD qui retracent avec les quatre points de vue des quatre personnages principaux le jour où ils se sont rencontrés, et trois fan fictions. 
J'ai beaucoup aimé lire toutes ces nouvelles, ça approfondissait encore d'avantage les personnages secondaires des quatre premiers tomes. En revanche, comme j'avais lu les tomes précédents il y a presque un an, j'ai eu un peu de mal à resituer les personnages. Mais finalement, ce n'était pas désagréable, car ainsi je me rappelais progressivement des divers éléments de l'intrigue et je prenais plaisir à me les remémorer.
J'ai beaucoup apprécié certains personnages (il y en a beaucoup dans les livres). Chaque personnage aborde une manière différente d'affronter le cataclysme, de réagir, de survivre. En même temps, on en apprend d'avantage sur la manière dont les autres pays/les hautes instances font preuve.
Bref, j'ai beaucoup aimé ce dernier tome, qui nous en apprend encore plus sur ce monde post-apocalyptique :) .

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