31 août 2016

Lecture: Ava préfère les fantômes

Couverture de Ava préfère les fantômes


Maïté Bernard
Syros
271 pages
16 €
Enquête, Fantômes, Mystère


Depuis l'âge de trois ans, Ava peut voir les fantômes et leur parler. Mais personne ne la croit, et certainement pas ses parents qui n'aiment pas que les petites filles inventent des histoires pour se faire remarquer. Alors Ava a appris à cacher ce don qui l'embarrasse. Jusqu'au jour où, devenue adolescente, dans un manoir sur l'île de Jersey, elle tombe nez à nez avec le fantôme d'une jeune femme, Billie, que l'on vient d'assassiner. Tout étonnée d'être morte, Billie s'aperçoit qu'Ava est la seule à la voir et la supplie de l'aider...


J'ai acheté ce livre au printemps dernier, dans une brocante (rassurez-vous, je crois que c'est le dernier de la série). J'en avait entendu parler il y a quelques années, mais le résumé ne m'avait pas du tout attiré (malgré la couverture qui est assez jolie). Là, il me faisait plus envie, et puis pour deux euros, je ne risquais pas grand chose.
On suit donc l'histoire d'Ava qui passe les vacances chez son oncle, sur l'île de Jersey. Son oncle qui n'a pas beaucoup de temps à lui consacrer: il est sur le point d'inaugurer dans son manoir une exposition sur les Vikings. Mais un corps est découvert: le meurtre aurait eu lieu dans le manoir. Ava va alors, bien malgré elle, mener l'enquête.
Ava est un personnage qui ne m'a pas particulièrement plu. Elle essaie de rester la plus impassible possible, se contrôle beaucoup trop pour que ce soit crédible et est très curieuse, malgré ce qu'elle en dit.
De même, l'histoire était bien, mais sans plus. Ava mène l'enquête, beaucoup de choses se passent dès le début, beaucoup de personnages sont présentés (je m'y suis un peu perdue d'ailleurs), mais ce n'est pas très intéressant. Puis, doucement, le niveau remonte, On apprend des choses, le roman devient plus original (j'ai adoré le personnage de Harold), Ava s'humanise.  La fin est vraiment bien (sauf les deux-trois dernières pages où mon intérêt est retombé comme un soufflé au fromage (oui j'ai faim) ). Dans l'ensemble, le roman fait très jeunesse (lecteurs de 10/11 ans).
Le style de Maïté Bernard est banal, pas très agréable mais pas désagréable non plus, ni addictif ni particulièrement fluide.
Bref, Ava préfère les fantômes n'est pas une grande réussite à mon goût. Peut-être l'aurais-je d'avantage apprécié si j'étais plus jeune ? Malgré tout, j'ai quand même envie de lire la suite pour savoir comment ça évolue.




29 août 2016

Lecture: La Passe-Miroir [tomes 1 et 2]

Couverture de La Passe-Miroir, Livre 1 : Les fiancés de l'hiver



Christelle Dabos
Gallimard Jeunesse
Complots, Mariages arrangés, Pouvoirs, Steampunk


Sous son écharpe élimée et ses lunettes de myope, Ophélie cache des dons singuliers : elle peut lire le passé des objets et traverser les miroirs. Elle vit paisiblement sur l'arche d'Anima quand on la fiance à Thorn, du puissant clan des Dragons. La jeune fille doit quitter sa famille et le suivre à la citadelle, capitale flottante du Pôle. A quelle fin a-t-elle été choisie ? Pourquoi doit-elle dissimuler sa véritable identité ? Sans le savoir, Ophélie devient le jouet d'un complot mortel.


J'avais reçu le premier tome de cette série ("Les fiancés de l'hiver") pour le Noël suivant sa sortie, c'est-à-dire en 2012. J'avais adoré, et même si j'attendais le deuxième tome, ces livres étaient petit à petit relégués au fond de mon esprit. Puis, quand en octobre dernier, le second tome est sorti, je me suis promis de relire le premier avant de m'attaquer à celui-ci. Les mois ont passé, et je ne les avais toujours pas lu.
Et j'ai eu tort! J'ai passé certes (presque) tout mon WE à lire ces deux tomes, mais j'ai passé un super moment. Ces deux livres sont de petites merveilles.
L'auteure nous embarque dans un univers que je ne saurais qualifier: est-il steampunk, fantasy, fantastique ? Un peu tout ça, j'imagine. Cet univers ressemble à la belle époque, mais transposé dans une géographie de fantasy (voire de SF, qui sait ?)  et avec des éléments fantastiques: la plupart des gens ont un pouvoir, qui varie selon leur famille. Il y a aussi des géants immortels, parfois considérés comme des divinités. Bref, cet univers est foisonnant et parfaitement maîtrisé.
Le personnage principal, Ophélie, est adorable. C'est un petit bout de femme avec beaucoup de caractère et une grande loyauté. Ainsi que l'indique le titre de la série, c'est une Passe-Miroir, ce qui veut dire qu'elle peut entrer dan un miroir pour en ressortir par un autre. C'est une Animiste, ce qui signifie que les objets autour d'elle prennent vie et s'agitent en fonction de son caractère, avant de développer leur propre personnalité (bataille de cuillères au déjeuner, porte qui claque si on ne s'essuie pas les pieds en entrant) (l'écharpe d'Ophélie est un de mes personnages préférés). Il y a bien sûr toute une galerie d'autres personnages tous plus extravagants et travaillés les uns que les autres, à commencer bien sûr par Thorn. Thorn est un personnage qui apparaît assez antipathique, mais qui, se dévoilant de plus en plus au fur et à mesure des tomes, devient de plus en plus sympathique.

Vous l'aurez compris, La Passe-Miroir est une série fabuleuse. Alors si vous ne l'avez pas encore lu, n'hésitez plus; d'autant que le premier tome vient de sortir en poche chez Folio :)

 


28 août 2016

Challenge: le Week-End à 1 000 #7, le bilan

Bonjour -ou plutôt bonsoir !
Je ne pensais pas faire cet article si tôt* -à vrai dire, je pensais même l'écrire demain. Mais je suis allée assee vite dans mes lectures et, du coup,j'ai déjà fini ma liste de lecture du week-end à 1 000.
*je l'ai commencé un peu après 19h.
Couverture de Ne ramenez jamais une fille du futur chez vousLe vendredi soir, je commence Ne ramenez JAMAIS une fille du futur chez vous à 19h10. A 19h30, je m'arrache à ma lecture pour trainer sur internet lorsque je découvre avec effarement que le challenge se tient ce WE. Ni une ni deux, j'écris l'article de présentation pour le blog. A partir de là, je n'ai plus le temps de souffler: ma mère me rappelle que c'est moi qui prépare à manger, alors je m'y mets, puis nous mangeons, je prends ma douche et, enfin, je peux lire, ce que je fait jusqu'à 11 (environ).
Le lendemain, je me réveille à 9h45 (toujours approximativement, je ne suis pas réglée comme une horloge suisse). Après le petit-déjeuner, je prépare rapidement une salade pour le dîner -nous sommes attendus chez des amis-, puis je me remets à lire. Je termine mon livre à midi.

Couverture de La Passe-Miroir, Livre 1 : Les fiancés de l'hiverLe temps de faire ma fiche lecture, de me poser un peu (comprendre: traîner sur le net), il est l'heure de manger. Après le repas, je commence Les fiancés de l'hiver puis, vers quinze heures, j'aide ma mère à emmener des gravats (nous faisons des travaux chez moi) à la déchetterie. Nous en revenons vers 16h30; après m'être rafraîchie un peu, je recommence à lire. Je prends une douche vers 18h, après laquelle je me prépare un peu pour la soirée, puis je retourne à ma lecture. Chez les amis de mes parents, je me trouve quelque fois seule; j'en profite pour lire un peu. Nous rentrons à minuit; je lis pendant  une demi-heure avant d'éteindre.
Ce matin, je me réveille vers 9h30. Je lis un peu avant de prendre mon petit-déjeuner, puis après. Je crois que je termine le livre vers 11h.

Couverture de La Passe-Miroir, Livre 2 : Les Disparus du ClairdeluneJ'entame ensuite directement le deuxième tome, sachant que je ne ferai qu'une seule chronique pour ces deux livres (à venir!) . Nous mangeons à 14; à 15h30, je reprends mon roman. Je vais prendre une douche vers 16h30 (c'est encore les vacances, que je sache!), puis me replonge dans me lecture. Je termine le challenge à 19h.


Si on additionne, j'ai donc lu un total (prévu) de 1 492 pages.




Voilà pour le résumé de mon WE :) Avez-vous participé à ce challenge ? Combien de pages avez-vous lu ? :)
A bientôt!

27 août 2016

Lecture: Ne ramenez JAMAIS une fille du futur chez vous

Couverture de Ne ramenez jamais une fille du futur chez vous


Nathalie Stragier
Syros
426 pages
16,90 €
Amitié, Voyages temporels, Comédie, Vie quotidienne


(il vient de Booknode)
Andrea est une lycéenne sans histoire, préparant son voyage d’été avec son meilleur ami quand tout bascule. Elle rencontre en effet Pénélope, une fille totalement paniquée, persuadée de venir du futur et pour qui l’année 2019 est celle de la fin du Moyen âge, une époque barbare et dangereuse. Et lorsque Andrea la ramène chez elle, c’est véritablement le début des ennuis…


J'avais miraculeusement trouvé ce livre dans une brocante à Pâques dernier. Depuis, j'avais toujours eu des choses plus urgentes à lire. Pour en finir, je l'avais mis sur la liste du challenge de l'été et du challenge Les couleurs de l'été; quand j'ai vu que ce WE serait celui du WE à 1 000, je m'en suis emparé.
On suit donc l'histoire d'Andrea, au point de vue interne. Quand j'ai vu qu'elle avait seize ans et qu'elle était végétarienne, j'ai pensé "parfait, exactement comme moi". Bon évidemment, ça n'a pas duré. Mais ces deux petits éléments ont fait que je l'ai tout de suite appréciée. Pourtant, après-coup, j'ai l'impression que c'est un personnage peu approfondi. Pénélope a été éduqué dans un monde très spécial (je ne dirais pas lequel bien sûr, ce serait un gros spoil), et elle voit tout par le prisme de son enfance. Elle prend les gens de notre époque (même si l'histoire se déroule en 2019) pour des demeurés, se pense éminemment supérieure. Ce n'est pas un personnage très agréable, mais au fil du roman elle prend d'avantage contact avec le "présent" et devient plus humaine et, forcément, plus agréable.
J'ai beaucoup aimé l'intrigue. C'était aussi intéressant de voir les différences des voyages dans le temps avec la série Time Riders, que j'ai terminée la semaine passée. La version du futur de cette auteure était très intéressante et, finalement, pas plus ridicule qu'une autre. Quant à l'histoire en elle-même, elle était assez drôle et rocambolesque, presque un peu trop parfois. 
Bref, après cette critique décousue, voilà ce que vous devez retenir: Ne ramenez jamais une fille du futur chez vous est un (gros) roman assez drôle, très intéressant et qui se lit assez vite.


 




26 août 2016

Challenge: Le Week-End à 1 000 #7

Bonjour à tous!
Je vous retrouve ce soir, après ma chronique, pour un article très rapide car j'ai découvert, avec une demi-heure de retard, que le challenge du Week-End à  1000 se déroulait à nouveau ce WE.
(cliquez sur l'image pour aller sur le site de l'organisatrice et avoir d'avantage de détails)

Voici ma sélection de livres pour ce WE:
-"Ne ramenez JAMAIS une fille du futur chez vous", de Nathalie Stragier, 426 pages
-"La Passe-Miroir", de Christelle Dabos:
   - "Les fiancés de l'hiver", 517 pages
   - "Les Disparus du Clairdelune",549 pages.

Avec ça, je vise un total de 1492 pages.

Couverture de Ne ramenez jamais une fille du futur chez vous Couverture de La Passe-Miroir, Livre 1 : Les fiancés de l'hiver Couverture de La Passe-Miroir, Livre 2 : Les Disparus du Clairdelune

Voilà voilà, bon we à vous! (et désolée pour cet article hyper speed)

Lecture: Des souris et des hommes

Couverture : Des souris et des hommes
Ce n'est pas la couverture de mon édition




John Steinbeck
Le livre de poche
182 pages
Histoire de vie, Maladie Mentale, Amitié


George Milton et Lennie Small sont deux amis qui errent sur les routes de Californie en travaillant comme journaliers de ranch en ranch. George et Lennie partagent depuis toujours le même rêve : posséder un jour une petite exploitation, pour y vivre « comme des rentiers » et y élever des lapins. Lennie nourrit une passion bien enfantine : il se plaît énormément à caresser les choses douces. Doté d’une très grande force physique, il ne parvient pas à dominer sa puissance hors de l'ordinaire. Il est également intellectuellement déficient, et passe constamment pour un « idiot ».


"Des souris et des hommes" et "Les raisins de la colère" sont les deux plus célèbres livres de Steinbeck. Ils étaient sur ma liste de classiques dans Le Challenge de l'été, et lorsque j'ai sorti celui-ci de la bibliothèque de mon grand-père (Papi si tu passe par là merci de laisser ta petite-fille te piquer tous tes livres :) ), j'ai été surprise par sa petitesse. 182 pages, c'est relativement peu, et si on ajoute à cela une préface et une introduction, on obtient un livre vraiment court.
J'ai été surprise aussi par la simplicité de l'écriture de Steinbeck. Je pensais, et c'est un a-priori qui s'applique à pas mal de classiques, que ce serait long et difficile, or je l'ai lu vraiment rapidement. 
Dernier élément qui m'a surprise: la simplicité de l'intrigue. Pareil que pour le style, je m'attendais à quelques chose d'assez complexe, or nous suivons simplement la vie de Lennie et de George.
Bien sûr, pour tout ces éléments, la surprise fut agréable.
Lennie et George sont des personnages qu'on ne connaît pas beaucoup. Je ne dirais pas qu'ils ne sont pas approfondis, car ils ont une consistance réelle; mais je n'ai pas réussi à cerner complètement leur personnalité.
Quant à l'histoire, elle raconte la société et ce qu'elle fait de ses hommes. Bien sûr, elle se déroule en 1930, les choses ont évolué depuis; néanmoins si la forme a évolué le fond, les pensées des gens n'ont pas beaucoup changé.
Bref, Des souris et des hommes est un (petit) roman qui, pris au premier degré, est simple à lire; au second degré, il laisse à réfléchir.



25 août 2016

Lecture: Time Riders

Couverture de Time Riders, tome 1


Alex Scarrow
Nathan
9 tomes
Science-Fiction, Historique, Voyages temporels, Amitié


Maddy, Liam et Sal sont trois ados qui auraient dû mourir dans un avion, un incendie, ou à bord du titanic. Mais au dernier instant, ils ont accepté la main tendue d'un mystérieux bieillard leur promettant une vie plus longue. Désormais, ils vivent dans une agence, en 2001, à New York. Et ils ont une mission: empêcher que des voyageurs venus du futur ne provoquent une onde temporelle, et ne changent définitivement le monde.


J'ai enfin eu le courage de m'atteler à cette grande série qui, à vrai dire, ne me tentait pas trop (surtout que, par erreur, j'ai commencé par le tome 6...). Et puis finalement, je me suis prise au jeu.
Nous suivons les aventures de Sal, Maddy et Liam à travers le temps. Je n'ai pas spécialement accroché avec ces trois personnages; si je devais en choisir un, je pense que ce serait Liam. Leur principal point noir, qui m'a beaucoup agacée sur les derniers tomes, est d'être très méprisants envers les "unités de soutien", des intelligences artificielles, lorsque ceux-ci développent des émotions. Maddy est assez autoritaire, mais elle est courageuse et se soucie des autres; deux autres points qu'elle partage avec Liam. Sal, qui est la plus jeune (treize ans au début de la série), est aussi la plus fragile. Néanmoins, elle démontre une curiosité à toute épreuve.
J'ai beaucoup apprécié l'histoire, même si je n'ai toujours pas saisi certaines notions du voyage temporel. J'avoue que j'avais peur que le schéma "onde temporelle/Liam envoyé pour réparer les dégâts/ gros problèmes pour le ramener/une fin positive" se répète dans chaque tome mais finalement, l'auteur a si se renouveler.
Le point de vue est omniscient, et la plume est correcte mais addictive. Bref, Time Riders est une bonne série, mais peut être un petit peu trop longue.

Tomes 1 à 3

 Tomes 4 à 9

 Toute la série

 Tomes 5, 7 et 9


24 août 2016

Lecture: Le jour où Anita envoya tout balader


Couverture de Le jour où Anita envoya tout balader



Katarina Bivald
Denoël
458 pages
21,90 €
Vie Quotidienne, Poursuivre ses rêves, Acceptation de soi



(Quatrième de couverture)
L’été de ses dix-huit ans, Anita Grankvist s’était fixé trois objectifs : apprendre à conduire une moto, acheter une maison et devenir complètement indépendante.
Presque vingt ans plus tard, Anita n’a toujours pas réalisé ses rêves. Elle mène une petite vie tranquille, seule avec sa fille Emma, et travaille au supermarché local. Le départ d’Emma pour l’université va bouleverser ce quotidien un peu fade. Anita réalise qu’elle va devoir gérer quelque chose qui lui a cruellement manqué ces deux dernières décennies : du temps libre.
Qu’à cela ne tienne, Anita commence à prendre des leçons de moto, se lance dans un projet impossible, apprend à connaître sa mère légèrement sénile, et tombe follement amoureuse.
Finalement, n’est-ce pas merveilleux de réaliser ses rêves d’adolescence à l’approche de la quarantaine?


J'ai lu ce livre à la fin de mes vacances dans les alpes; ce sont mes parents qui me l'ont offert. Malgré son épaisseur (mes parents avaient insisté pour que je choisisse un gros livre).
J'ai tout de suite accroché avec le roman. Il faut dire que ça commence par "Mon chemin vers la folie débute ici. Je suis assise par terre et je parle avec ma porte." Deux phrases qui mettent tout de suite dans l'ambiance un peu perchée du livre. Et, de fil en aiguille, j'ai été happée par le quotidien du personnage principal, jusqu'à ne plus pouvoir lâcher le livre.
Anita est un personnage auquel je me suis beaucoup attachée, et auquel on ne peut que s'attacher. A trente-huit ans, elle prend conscience que, ayant eu sa fille très tôt, son quotidien a toujours été tourné vers elle. Et maintenant qu'elle est partie, Anita ne sait plus quoi faire de son temps libre. Elle essaie des choses, en discute avec ses amies. C'est un personnage absolument généreux (bien plus qu'elle ne le croit),  très loyal et avec un sens de l'humour à toute épreuve. 
Enfin, j'ai aussi apprécié le style de Katarina Bivald. C'est elle, en fait, qui nous fait rire. Son style est léger, heureux, fluide; parfait pour un roman de ce type.
Bref, je crois que vous avez compris que j'ai beaucoup apprécié Le jour où Anita envoya tout balader, et que je vous le recommande fortement :).