Séverine Vidal
Sarbacane
Exprim'
202 pages
15,50€
Famille, Amitié, Voyage, Maladie
Matt craignait le pire. Il sent sur son cou la main de son grand-père, qui prend la parole :
– Je perds la mémoire. Et ce jeune homme, assis là, il m'emmène en tournée à travers les USA pour réveiller les souvenirs enfouis. C'est pas beau, ça ?
Antonia et Luke hochent la tête ensemble, parce qu'ils sont émus, Matt le voit dans le rétro.
Gary relâche son étreinte et :
– Qui pourrait rêver meilleur petit-fils, hein ?
Matt craignait le pire et ce n'est pas ce qui est arrivé. C'est même tout le contraire.
J'ai acheté ce livre au SLPJ 2015, et je l'ai lu rapidement car il me tentait beaucoup (et je poste la chronique en mars, je sais -je vous invite à aller voir l'onglet Comment ça marche).
Quelqu'un qu'on aime est un livre qui se lit très vite. D'une part parce qu'il est "vachement" bien, d'autre part parce qu'on veut connaître la suite des aventures de le petite tribu, et enfin parce que l'écriture est fluide et agréable.
Quelqu'un qu'on aime est un livre qui se lit très vite. D'une part parce qu'il est "vachement" bien, d'autre part parce qu'on veut connaître la suite des aventures de le petite tribu, et enfin parce que l'écriture est fluide et agréable.
Dans ce roman, nous
suivons donc les tribulations de Matt, Gary, Amber, Antonella et
Luke. Ils forment une petite famille, touchante, bancale, drôle,
émouvante, chacun avec sa personnalité, ses doutes et ses
problèmes.
Avec une infinie douceur,
Séverine Vidal nous emmène au pays des rêves, des espoirs et des
souvenirs ; un monde presque trop idéaliste s'il n'y avait les
« trous de mémoire » de Gary et cette fin, qui invite
tout en chacun à retourner sur terre.
Si vous suivez le blog,
vous n'êtes peut-être pas sans savoir que je place souvent les
livres dans la même catégorie (liste de bronze) et donc que je suis
assez sévère. Mais ce livre-là a frôlé le coup cœur, alors
lisez-le, sinon vous passerez vraiment à côté de quelque chose.
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